L’hypnose est un outil médical qui trouve sa place dans la prise en charge de l’anxiété. De nombreuses techniques sont proposées au patient. L’évaluation de l’anxiété du patient est incontournable dans notre pratique de soin. Or, les mots choisis pour cette évaluation ne sont pas toujours en cohérence avec l’amélioration apportée par nos techniques de communication hypnotique. Effectivement il est démontré que les mots à valence négatives, en lien avec la douleur, l’anxiété, la peur, sont susceptibles d’activer les zones cérébrales de la matrice cérébrale de la douleur. Si cette activation inconsciente est nécessaire pour l’adaptation à notre environnement, voire à la survie de notre espèce, il est des situations, notamment lors de la prise en charge pour un soin médical où le soignant se doit d’être plus protecteur. L’évaluation par une échelle d’auto évaluation de l’anxiété est souvent utilisée mais renforce l’idée et le concept d’anxiété. Aussi il faut orienter l’esprit du sujet vers le confort tout en l’évaluant. L’évaluation de l’efficacité d’une technique hypnotique repose essentiellement sur l’interrelation entre le patient et le soignant, donc des critères subjectifs, le plus souvent par le recours à des échelles comportementales. Le recours à l’autoévaluation par l’EVN lors d’interventions avec l’hypnose est relativement contraignante en pratique et parfois contre productive comme nous l’avons évoqué auparavant. L’Analgesia Nociceptive Index (ANI) est un index objectif variant de 0 à 100, extrait de façon non invasive à partir de l’ECG, basé sur la variabilité de la fréquence cardiaque et reflétant le tonus parasympathique. Chez le sujet conscient, cet index est le reflet du confort c’est à dire de l’anxiété (émotion, stress) et de la perception de la douleur, les deux composantes du tonus parasympathique.
Une valeur d’ANI proche de 100 correspond à un tonus parasympathique prédominant (bas niveau de stress) et une valeur proche de 0 correspond à un tonus sympathique prédominant (haut niveau de stress).
Nous allons proposer à travers cet atelier une objectivation du confort par les valeurs obtenues par l’ANI lors d’une courte séance d’hypnose proposée aux congressistes dont l’objectif est le confort. Nous colligerons ces données par un simple enregistrement électrocardiographie pour une étude observationnelle simple menée lors du congrès.
L’hypnose est un outil médical qui trouve sa place dans la prise en charge de l’anxiété. De nombreuses techniques sont proposées au patient. L’évaluation de l’anxiété du patient est incontournable dans notre pratique de soin. Or, les mots choisis pour cette évaluation ne sont pas toujours en cohérence avec l’amélioration apportée par nos techniques de communication hypnotique. Effectivement il est démontré que les mots à valence négatives, en lien avec la douleur, l’anxiété, la peur, sont susceptibles d’activer les zones cérébrales de la matrice cérébrale de la douleur. Si cette activation inconsciente est nécessaire pour l’adaptation à notre environnement, voire à la survie de notre espèce, il est des situations, notamment lors de la prise en charge pour un soin médical où le soignant se doit d’être plus protecteur. L’évaluation par une échelle d’auto évaluation de l’anxiété est souvent utilisée mais renforce l’idée et le concept d’anxiété. Aussi il faut orienter l’esprit du sujet vers le confort tout en l’évaluant. L’évaluation de l’efficacité d’une technique hypnotique repose essentiellement sur l’interrelation entre le patient et le soignant, donc des critères subjectifs, le plus souvent par le recours à des échelles comportementales. Le recours à l’autoévaluation par l’EVN lors d’interventions avec l’hypnose est relativement contraignante en pratique et parfois contre productive comme nous l’avons évoqué auparavant. L’Analgesia Nociceptive Index (ANI) est un index objectif variant de 0 à 100, extrait de façon non invasive à partir de l’ECG, basé sur la variabilité de la fréquence cardiaque et reflétant le tonus parasympathique. Chez le sujet conscient, cet index est le reflet du confort c’est à dire de l’anxiété (émotion, stress) et de la perception de la douleur, les deux composantes du tonus parasympathique.
Une valeur d’ANI proche de 100 correspond à un tonus parasympathique prédominant (bas niveau de stress) et une valeur proche de 0 correspond à un tonus sympathique prédominant (haut niveau de stress).
Nous allons proposer à travers cet atelier une objectivation du confort par les valeurs obtenues par l’ANI lors d’une courte séance d’hypnose proposée aux congressistes dont l’objectif est le confort. Nous colligerons ces données par un simple enregistrement électrocardiographie pour une étude observationnelle simple menée lors du congrès.
L’hypnose est un outil médical qui trouve sa place dans la prise en charge de l’anxiété. De nombreuses techniques sont proposées au patient. L’évaluation de l’anxiété du patient est incontournable dans notre pratique de soin. Or, les mots choisis pour cette évaluation ne sont pas toujours en cohérence avec l’amélioration apportée par nos techniques de communication hypnotique. Effectivement, il est démontré que les mots à valence négatives, en lien avec la douleur, l’anxiété, la peur, sont susceptibles d’activer les zones cérébrales de la matrice cérébrale de la douleur. Si cette activation inconsciente est nécessaire pour l’adaptation à notre environnement, voire à la survie de notre espèce, il est des situations, notamment lors de la prise en charge pour un soin médical où le soignant se doit d’être plus protecteur. L’évaluation par une échelle d’auto évaluation de l’anxiété est souvent utilisée mais renforce l’idée et le concept d’anxiété. Aussi il faut orienter l’esprit du sujet vers le confort tout en l’évaluant. L’évaluation de l’efficacité d’une technique hypnotique repose essentiellement sur l’interrelation entre le patient et le soignant, donc des critères subjectifs, le plus souvent par le recours à des échelles comportementales. Le recours à l’autoévaluation par l’EVN lors d’interventions avec l’hypnose est relativement contraignante en pratique et parfois contre productive comme nous l’avons évoqué auparavant. L’Analgesia Nociceptive Index (ANI) est un index objectif variant de 0 à 100, extrait de façon non invasive à partir de l’ECG, basé sur la variabilité de la fréquence cardiaque et reflétant le tonus parasympathique. Chez le sujet conscient, cet index est le reflet du confort c’est à dire de l’anxiété (émotion, stress) et de la perception de la douleur, les deux composantes du tonus parasympathique.
Une valeur d’ANI proche de 100 correspond à un tonus parasympathique prédominant (bas niveau de stress) et une valeur proche de 0 correspond à un tonus sympathique prédominant (haut niveau de stress).
Nous allons proposer à travers cet atelier une objectivation du confort par les valeurs obtenues par l’ANI lors d’une courte séance d’hypnose proposée aux congressistes dont l’objectif est le confort. Nous colligerons ces données par un simple enregistrement électrocardiographie pour une étude observationnelle simple menée lors du congrès.